13.09.21
A la police, vous aidez à faire la différence
Raymond Kanda (31) est né au Congo. Il est arrivé en Belgique avec sa maman, lorsqu’il était enfant. Après ses études secondaires, il suit une formation en droit. « J’avais pas mal de préjugés sur la police », explique-t-il. « A mon sens, la police commettait trop d’erreurs. Ma mère ne partageait pas mon point de vue. Si tu veux changer quelque chose, alors entre dans la police, me disait-elle. Vois-toi comme une partie de la solution et non du problème. »
Raymond suit le conseil de sa mère et fait un stage à la police. « Ce fut une véritable révélation », dit-il. « J’ai découvert d’autres facettes de la police. » Une impression qui ne le lâchera plus. « La police est faite d’individus », poursuit Raymond. « En tant que personne, je peux contribuer à ce qu’est et fait la police. Au lieu de me plaindre, je veux apporter activement ma contribution. »
Expérience sur le terrain
Titulaire d’un master en sciences du travail de l’ULB, Raymond passe l’examen pour devenir inspecteur de police. « Avec mon diplôme, j’aurais pu directement passer les épreuves pour devenir commissaire », déclare-t-il. « Mais j’ai préféré acquérir de l’expérience sur le terrain en tant qu’inspecteur, avant de me développer dans une fonction dirigeante. »
Raymond a suivi une formation d’un an à Bruxelles puis a intégré le Corps d’intervention (CIK) de la Police Fédérale. Ce corps est peu connu du grand public. Il assure pourtant l’ordre public lors de grands événements comme les tournois de football mais aussi les manifestations et les grèves. En seconde instance, le Corps offre un soutien à la Police Locale. « Ce qui m’a tout de suite attiré, c’est l’ambiance de travail positive et la camaraderie entre collègues », souligne Raymond.
Dialogue
« Notre travail se passe dans la rue, l’espace public. Avec la Police Locale, nous sommes présents dans les communes et les quartiers de Bruxelles, et souvent aussi dans d’autres villes du pays. Je trouve cela passionnant. Vous découvrez de nouveaux quartiers et vous pouvez entamer le dialogue avec les citoyens. » Pour Raymond, le dialogue est un des principaux outils de la police. « Les gens pensent d’abord à nos tâches répressives, mais la police, c’est bien plus que ça. J’estime qu’il est extrêmement important d’aborder les citoyens d’une manière correcte. »
A terme, Raymond veut passer l’examen d’officier et évoluer, éventuellement à la Police Judiciaire Fédérale. « Les options ne manquent pas », dit-il. « Je fais souvent la comparaison avec une haute école ou une université. Ici aussi, vous avez de nombreux domaines et directions. Vous y trouverez toujours votre place et vous aurez l’opportunité de vous développer. Vous pouvez travailler dans la rue, au bureau, à l’administration, à la recherche, etc. »
Un large éventail d’opportunités d’emploi
La Police Fédérale recherche des nouveaux collaborateurs aux profils très différents en termes de formation et d’expérience. « Pour moi, c’est le grand avantage de la police. C’est un métier qui offre de nombreuses chances et opportunités. » La police a lancé une campagne de recrutement de divers profils, non seulement du personnel civil mais aussi des policiers de tout grade. « Finalement, chacun apporte sa plus-value spécifique. Quand je vois quelqu’un hésiter, je lui conseille toujours de foncer. » Outre les opportunités d’emploi proposées, la police est un employeur qui offre une sécurité d’emploi, des conditions attrayantes en matière de salaires, de congés et de primes.
Toute personne qui s’engage dans la police apporte sa contribution à une organisation qui a une grande responsabilité sociale et un impact. « Voilà pourquoi j’ai choisi ce travail par conviction », conclut Raymond. « Je veux contribuer à l’amélioration du fonctionnement et de la prestation de service de la police. Aucune organisation n’est parfaite, c’est vrai, mais ici, je peux apporter ma pierre à l’édifice. La police vous offre la chance d’aider à faire la différence, et c’est cela qui rend le job passionnant. »
Raymond suit le conseil de sa mère et fait un stage à la police. « Ce fut une véritable révélation », dit-il. « J’ai découvert d’autres facettes de la police. » Une impression qui ne le lâchera plus. « La police est faite d’individus », poursuit Raymond. « En tant que personne, je peux contribuer à ce qu’est et fait la police. Au lieu de me plaindre, je veux apporter activement ma contribution. »
Expérience sur le terrain
Titulaire d’un master en sciences du travail de l’ULB, Raymond passe l’examen pour devenir inspecteur de police. « Avec mon diplôme, j’aurais pu directement passer les épreuves pour devenir commissaire », déclare-t-il. « Mais j’ai préféré acquérir de l’expérience sur le terrain en tant qu’inspecteur, avant de me développer dans une fonction dirigeante. »
Raymond a suivi une formation d’un an à Bruxelles puis a intégré le Corps d’intervention (CIK) de la Police Fédérale. Ce corps est peu connu du grand public. Il assure pourtant l’ordre public lors de grands événements comme les tournois de football mais aussi les manifestations et les grèves. En seconde instance, le Corps offre un soutien à la Police Locale. « Ce qui m’a tout de suite attiré, c’est l’ambiance de travail positive et la camaraderie entre collègues », souligne Raymond.
Dialogue
« Notre travail se passe dans la rue, l’espace public. Avec la Police Locale, nous sommes présents dans les communes et les quartiers de Bruxelles, et souvent aussi dans d’autres villes du pays. Je trouve cela passionnant. Vous découvrez de nouveaux quartiers et vous pouvez entamer le dialogue avec les citoyens. » Pour Raymond, le dialogue est un des principaux outils de la police. « Les gens pensent d’abord à nos tâches répressives, mais la police, c’est bien plus que ça. J’estime qu’il est extrêmement important d’aborder les citoyens d’une manière correcte. »
A terme, Raymond veut passer l’examen d’officier et évoluer, éventuellement à la Police Judiciaire Fédérale. « Les options ne manquent pas », dit-il. « Je fais souvent la comparaison avec une haute école ou une université. Ici aussi, vous avez de nombreux domaines et directions. Vous y trouverez toujours votre place et vous aurez l’opportunité de vous développer. Vous pouvez travailler dans la rue, au bureau, à l’administration, à la recherche, etc. »
Un large éventail d’opportunités d’emploi
La Police Fédérale recherche des nouveaux collaborateurs aux profils très différents en termes de formation et d’expérience. « Pour moi, c’est le grand avantage de la police. C’est un métier qui offre de nombreuses chances et opportunités. » La police a lancé une campagne de recrutement de divers profils, non seulement du personnel civil mais aussi des policiers de tout grade. « Finalement, chacun apporte sa plus-value spécifique. Quand je vois quelqu’un hésiter, je lui conseille toujours de foncer. » Outre les opportunités d’emploi proposées, la police est un employeur qui offre une sécurité d’emploi, des conditions attrayantes en matière de salaires, de congés et de primes.
Toute personne qui s’engage dans la police apporte sa contribution à une organisation qui a une grande responsabilité sociale et un impact. « Voilà pourquoi j’ai choisi ce travail par conviction », conclut Raymond. « Je veux contribuer à l’amélioration du fonctionnement et de la prestation de service de la police. Aucune organisation n’est parfaite, c’est vrai, mais ici, je peux apporter ma pierre à l’édifice. La police vous offre la chance d’aider à faire la différence, et c’est cela qui rend le job passionnant. »